JRS 69 – Partenaire : Christophe Le Bars : « Accompagner au plus près les projets de chacun vers le succès »

EOS, déesse grecque de l’aurore, symbolise le jour nouveau. Celui où démarrent nouveaux projets et aventures. Elle permet aussi aux desseins professionnels de se construire, aidés en cela par Christophe Le Bars et ses associés, Jean-Marc Beurel et Marc Lhomeau, à la tête d’EOS Expansion mais aussi responsable des partenariats du SC Le Rheu Rugby.

Rencontrer Christophe Le Bars dans ses locaux raffinés et cosy de la rue Victor Hugo, une fois que vous réussissez enfin à l’intercepter en pleine course au cœur d’un emploi du temps chargé, est un plaisir. La certitude de parler de notre belle Rennes, de l’économie et du monde de l’entrepreneuriat local. L’homme est aussi intarissable sur le sport et plus précisément l’Ovalie. Partenaire via EOS Expansion du SC Le Rheu et responsable aux côtés d’Oscar Mallet des partenariats, celui-ci voit la vie en « Jaune et noir », la semaine aux couleurs de son entreprise et le week-end venu dans les contrées de Beuffru : « Jean-Yves Bouhier et Michel Seguès m’ont emmené à Beuffru, en 2013. J’essaie aujourd’hui de créer le lien, d’accueillir nos sponsors pour des actions autour des matchs et aussi en dehors mais aussi de mettre à profit mon réseau et les réseaux de chacun pour aider à développer le club. Cette saison, nous essaierons de batailler pour aller chercher un huitième de finale de Play-Offs, avec une équipe qui ne manque pas de qualités. » Le début de saison de son équipe, pour le moment un peu en deçà des attentes, indique bien que la vérité du sport n’est pas toujours celle des feuilles de matchs où l’effectif rheusois a très belle allure. Côté professionnel, là aussi, rien n’est joué d’avance : « C’est un métier où rien n’est écrit d’avance, vous vous levez le matin et il y a beaucoup d’inconnues et tout autant de possibilités d’aider, de conseiller les clients. Il faut être structuré, maîtriser son sujet mais aussi parfois se laisser porter vers l’inconnu, être très curieux. J’aime le fait que rien ne soit écrit à l’avance… » Son métier, Christophe Le Bars l’exerce dans l’immobilier professionnel : « Au contact des bailleurs, nous évaluons la valeur, les possibilités et le potentiel d’un site et ensuite, sommes en charge d’identifier puis d’apporter des solutions cohérentes, complémentaires répondant aux critères définis avec le bailleur. Nous travaillons à 80 % sur des offres d’emplacement en galeries marchandes et retails et pour le reste, sur des fonds de commerce plus classiques au cœur des villes ou en périphérie comme des restaurants, bars, hôtels, boulangerie, tabac ou presse. » Avec les valeurs communes entre sport et entreprise comme la combativité, la solidarité, bien préparer une rencontre et atteindre ses objectifs, EOS Expansion est aux côtés de ceux qui entreprennent, projettent et ambitionnent, avec en leitmotiv l’idée de collectif : « On n’est rien les uns sans les autres ! »

Combat, partage, collectif et humilité

Pour mener à bien ses missions, EOS Expansion a récemment accueilli dans son équipe jusque-là constituée de huit personnes, deux nouvelles têtes, avec Agathe Magot, juriste, chargée de la rédaction de baux commerciaux et d’offres, rattachée aux côtés de Pascale Lolliver, avocate, ainsi que Nora Mennani. Celle-ci, forte d’un BTS Notariat et d’une expérience en agence immobilière arrive pour épaule Christophe Le Bars et Jean-Marc Beurel sur le terrain. Pas de trop pour répondre à une demande et à un marché dynamique : « Nous avons contribué à l’installation de Super U au centre commercial Grand Quartier, la vente des murs BOULANGER dans ce même centre ou aussi la création d’une boutique LEGO au centre Leclerc Atlantis à Nantes l’année dernière. Cette année, nous avons installé Courir à Atlantis et négocié la vente de l’historique Boucherie Clermont à Bruz. Si notre activité est concentrée sur le 35 et le 22, nous intervenons sur toute la France. » Les missions à venir, sur le front du commerce et de l’immobilier comme sur celui du SC Le Rheu, ne vont pas manquer, comme les nombreux défis à relever comme celui de Maxime Bouvier, skippeur accompagné en septembre dernier sur la Mini-Transat, conclue en milieu de tableau. Avec bien au-delà d’un classement ou d’un résultat, des valeurs de combat, de partage et d’humilité pour aller au bout des choses. Une vision de la vie, tout simplement.