C’est un lieu pas comme les autres que nous avons eu la chance de tester pour vous, sur La Mézière, derrière le magasin But, sur la route du Meuble. Au programme, du karting dans un monde virtuel projeté aux murs et au sol façon Mario Kart, avec de nombreux modes de jeu, puis un quiz musical fun et diversifié. Ludique et addictif, nous vous invitons à vivre vous aussi cette expérience au plus vite !
A l’heure où «l’Intelligence artificielle » est sur toutes les lèvres avec un léger goût d’injonction, l’accès aux nouvelles technologies de pointe reste possible sans pour autant renoncer à son libre arbitre. Chez FunLab, pas besoin de débrancher votre cerveau et de laisser l’IA penser et faire à votre place, non !
Loin de là, même, avec une proposition originale : la conduite de karts électriques sur une piste de 2.000 m² aux décors multiples et évolutifs, pour une immersion totale : « Mon idée première avec le FunLab était de rendre accessible les nouvelles technologies au monde des loisirs, avec un public très large où tout le monde puisse s’amuser, explique Antoine Tabet, maître des lieux. Nous avons le plaisir de proposer à Rennes la onzième piste BattleKart en France, avec la plus grande surface praticable d’Europe, sur 2.000 m². »
« Au maximum, une collision se fera à 5 km/h, n’occasionnant aucun dommage »
La franchise belge BattleKart, installée à l’échelle mondiale et disposant d’une douzaine de sites en France, est située au sein de ce complexe de loisirs multi-activités. Le principe ? Très simple, et intuitif. Des courses en karts électriques sur une piste qui s’anime grâce à 70 vidéoprojecteurs orientés sur les murs et la piste pour une immersion totalement dingue dans différents décors !
Inévitablement, chaque coureur se retrouve projeté au cœur d’un bon vieux Mario kart, en toute sécurité : « Grâce aux capteurs au plafond reliés à nos karts, un véritable mécanisme d’assistance est en place et les collisions très rares, le kart s’arrêtant automatiquement face aux obstacles. Au maximum, une collision se fera à 5 km/h, n’occasionnant aucun dommage et donc, n’imposant pas le port du casque. Celui de la ceinture de sécurité, en revanche, oui ! « Sinon tous les karts s’arrêtent… », précise Antoine Tabet.
L’accompagnement et la mise en route du jeu, via un briefing de sécurité et le mode d’emploi du véhicule, sont dictés par l’un des membres de l’équipe du site, entre Antoine, donc, et Noëlie, Fanny, Tom et Rodolphe, tous rompus aux joies de l’animation et du divertissement : « J’ai la chance de travailler avec une équipe que je connais parfaitement. Nous nous sommes tous croisés et avons travaillé ensemble dans l’animation auprès des enfants, les colos, les centres de loisirs », précise le jeune entrepreneur.
Jusqu’à douze karts en simultané sur la piste avec six modes de jeu différents !
Des passionnés du divertissement et de l’animation aux côtés d’un licencié d’ingénierie pédagogique, forcément lui aussi fervent amateur du genre : « Rendre accessible tout cela, transmettre, et le tout en s’amusant, c’est le top ! », confirme celui s’est installé sur un ancien centre de tri de la Poste, avec la location d’un espace permettant d’imaginer de nombreuses évolutions, à terme, pour un investissement global de près de 850.000 €.
Les présentations faites, place au jeu ! Histoire de ne pas s’ennuyer, six modes de jeu sont disponibles : le BattleRace, une course classique avec la possibilité de bonus pour pénaliser les copains à volonté (fusée, tache d’huile) ou booster son bolide pour des pointes de vitesse sensationnelles ! Le BattleColor vous invite à conquérir le maximum d’espace sur la piste en y posant la couleur proposée par le jeu, le BattleFoot, dans le style Rocket League, vous invite à une collaboration pour marquer le plus de buts possible en poussant le ballon projeté au sol par les vidéoprojecteurs.
Toujours en collaboratif, le BattleVirus vous invite à combattre un méchant Virus, comme le nom l’indique, en soignant à la fois ses collègues touchés par ce dernier tout en attaquant le « monstre » pour l’emporter. Pour cette mission, il faut une précision chirurgicale ! Le BattlePool, lui, vous envoie dans l’univers du billard, où vous serez la boule blanche avec pour mission de rentrer un maximum de billes dans les trous virtuels. Pour les nostalgiques enfin, du Nokia 3310, le BattleSnake, fameux jeu du serpent, est le dernier mode à disposition !
« Depuis notre ouverture, il y a trois mois, nous avons en moyenne dix entreprises à venir par semaine, et autant de demandes de devis »
La palette est large, donc, avec jusqu’à 12 kartings en simultané sur la piste pour un parc total de 18 véhicules : « Vous démarrez sur une partie de 15 minutes, où vous pouvez programmer, sur place ou en réservation via notre site, 4 modes de jeu différents ». De la diversité au sein de la même partie, donc, sans limite d’âge et à partir d’1,45m pour des raisons de sécurité. Question tarif, comptez 20 € pour la première partie, 18 pour la seconde et 16 pour la troisième. Un tarif réduit est en place pour les étudiants et moins de 16 ans, à 16 € la partie.
Si la famille, les groupes de copains et les amoureux de la course ludique sont le premier public du FunLab, souvent ciblé autour des 30-40 ans, tous les autres peuvent bien entendu venir s’amuser, comme les grands-parents se prêtant au jeu d’accompagner les petits-enfants. Les entreprises quant à elles ont déjà adopté le lieu, idéal par ses formules séminaires ou Team-Building : « Depuis notre ouverture, il y a trois mois, nous avons en moyenne dix entreprises à venir par semaine, et autant de demandes de devis ».
Il faut dire que le lieu, au-delà de son arène de courses, se prête à l’exercice : une salle de réunion est à disposition, des canapés et tables cosy pour déjeuner, avec une collaboration en place avec Angau and Co, traiteur local. Snacking, boissons « Licence 3 » et pizzas livrées sur place sont aussi possibles pour rendre l’expérience plus plaisante encore. Sans compter l’espace arcades dédié aux petits et grands pour s’amuser, en toute simplicité, entre simulateurs automobile et moto, chasse de petits cochons et l’incontournable coup de poing, au succès toujours aussi improbable qu’incontestable ! Mais ce n’est pas fini…
Musi’Quiz, l’activité complémentaire idéale !
« Afin de satisfaire tout le monde, et notamment ceux qui ne sont pas forcément attirés par la conduite, nous souhaitions une activité complémentaire, pour les particuliers comme pour les entreprises. Dans cette optique, le quiz nous est apparu comme le compromis idéal mais encore fallait-il choisir le bon… » Place alors à Musi’Quiz, jeu musical fédérateur et capable d’offrir de belles batailles entre Blind-test inversé, chansons à compléter, et tout un tas d’autres défis autour de tous les styles musicaux.
Tout cela dans une ambiance « Maillon Faible » avec une caméra tournante et vous visant, histoire d’ajouter un peu de stress, de la fumée, une ambiance et au final, une expérience parfaitement immersive là aussi, et réussie. Nous l’avons testé (j’ai triomphé !) et nous l’approuvons, avec d’excellentes sensations : impossible de se retenir au moment de chambrer ou de pousser la chansonnette !
Pour les sessions allant de 30 minutes pour la formule découverte à 1 heure 15 pour les plus aguerris : « Ce jeu rencontre du succès notamment auprès de notre public féminin, à l’occasion des enterrements de vie de jeune fille. Nous en avons par exemple enchaîné jusqu’à neuf en une journée, récemment. » Là aussi, les réservations en ligne sont conseillées, afin de faire votre place autour du plateau pour défier les copains en buzzant le plus vite ou le mieux !
Avec un très grand parking sécurisé, FunLab est une zone destination où l’on peut rester jusqu’à tard, que ce soit pour jouer ou pour boire simplement un verre dans ce qui est aujourd’hui l’unique bar de la Route du Meuble. Tout est fait pour vous divertir, vous séduire et surtout, vous donner l’envie d’y revenir afin de partager expérience unique et généreuse. Testé et approuvé !
Contacts :
1 Rue de La Tordelière, 35520 LA MEZIERE
Mail : contact@funlab.bzh
Tel : 02.59.16.13.05
Article extrait du JRS de juin
