Installé depuis mars 2022 au cœur de la zone commerciale Univer à Chateaugiron, E.L Rénovation, concessionnaire Homkia (réseau d’une quarantaine d’agences existant depuis dix ans), répond à tous vos besoins de rénovation… et pas que. Rencontre avec Adrien Chasles, son gérant.
E.L Rénovation est implanté depuis près de 30 mois sur Chateaugiron. Quelles sont vos spécialités ?
Nous sommes spécialistes de la rénovation auprès des particuliers. Nous ne travaillons qu’avec eux sur les fenêtres et volets, battants ou roulants, les portes d’entrée, portails et portillons, portes de garage, stores ainsi que sur les extérieurs : avec la pose de pergolas, stores-ban, garde-corps, carport, clôtures ainsi que les terrasses bois et en composite. Nous disposons à ce jour de poseurs et commerciaux salariés de l’entreprise, où nous sommes 14.
Quelle philosophie adoptez-vous au quotidien, que ce soit avec collaborateurs ou vos clients ?
La notion de travail d’équipe est primordiale. Aujourd’hui, il n’y a pas de pose sans vendeur ni de ventes sans poseur, le tout avec le souci du respect du client et un soin important apporté à l’ouvrage. Nos clients doivent être satisfaits à 100%, c’est notre exigence.
Pour cela, parvenez-vous malgré la crise ayant frappé les matériaux, à fournir et poser en temps et en heure ?
J’ai fait le choix stratégique de poser en flux tendu, ce qui laisse peu de marge de manœuvre mais cela permet aussi d’assurer la pose des fenêtres en PVC ainsi que des stores-ban en deux mois. Le réseau Homkia fonctionne un peu comme une centrale d’achat qui négocie ses prix auprès des fabricants français, ce qui permet de proposer un très bon rapport qualité / prix.
Localement, on vous imagine impliqué ?
Je suis originaire de Chateaugiron et après avoir été responsable réseau chez Homkia, voyageant en permanence sur toute la France, je voulais rentrer à la maison et j’ai saisi l’opportunité d’ouvrir une agence ici. Ce plaisir de travailler avec les particuliers dominait et l’aventure était une évidence pour moi qui ai commencé à 14 ans à travailler chez les Compagnons du devoir. Pour ce qui est d’accompagner localement, E.L Rénovation est aux cotés des U16 du club de football de Chateaugiron et présent avec le basket. Il me paraissait évident et logique d’accompagner ces associations qui sont la force de nos communes et territoires locaux.
Profession poseur, passion, le Canicross !
Dans les équipes d’E.L Rénovation évolue un champion d’une discipline peu connue mais pourtant hautement exigeante le Canicross. Croisement de la passion de la course à pied et de celles de nos amis les chiens, elle offre de multiples possiblités. Nous avons posé trois questions à Jonathan Fournage, 10ème au dernier championnat de France.
Pouvez-vous nous parler de votre pratique et passion pour le canicross ?
Je pratique la course à pied depuis l’âge de cinq ans et le VTT depuis mes 10 ans. J’ai toujours eu une passion et une histoire forte avec les chiens et cette activité m’a permis de lier plusieurs passions. En canicross, on court sur six kilomètres, relié avec le chien qui doit toujours être devant nous. Nous sommes équipés d’un baudrier en course avec une longe élastique pour amortir les chocs de la tractation. Le chien a un harnais et les courses vont jusqu’à six kilomètres. Ensuite, on passe du cani-trial. Il existe aussi des compétitions de cani-VTT et cani-trottinette.
Cette pratique est en développement en France (plus de 200 clubs et beaucoup de nouveaux qui se forment). Nécessite-t-elle un entraînement particulier ?
Comme pour un sportif, le chien a besoin d’entrainement, d’aller courir et travailler son endurance mais aussi d’une alimentation saine et équilibrée. Nous travaillons bien avec mes quatre chiens et avons été récompensés récemment, avec un titre de vice-champion régional en cani-trottinette et une dixième place aux championnats de France sur Canicross.
Comment s’appellent vos fidèles équipiers et quelles sont vos ambitions ?
Nous pouvons concourir avec les chiens de notre choix. Pour ma part, j’ai deux Huskies, Resciau et Stark. J’avais récupéré ce dernier dans une asso, il avait été mal traité et nous avons ensemble été vice-champion régional, c’est une belle histoire. J’ai aussi un Braque, Unyx, âgé de 11 mois avec lequel nous allons bientôt pouvoir faire des courses et il y a enfin Sky, mon Beauceron. Le but, pour eux comme pour moi, reste ce partage, ce plaisir de courir ensemble avec pourquoi pas, le rêve d’aller un jour au championnat d’Europe.