Entreprise : À la rencontre d’Alexandre Gambarini, et d’Erkrial, passion architecture et rugby

DEVENU PARTENAIRE DU REC RUGBY AVEC ERKRIAL EN 2016, ALORS QUE LE CLUB ÉTAIT ENCORE EN FÉDÉRALE 2, ALEXANDRE GAMBARINI, DIRIGEANT DE L’ENTREPRISE QU’IL A CRÉÉE EN 2013, EST UN MORDU DE RUGBY. UNE PASSION POUR L’OVALIE LOIN D’ÊTRE DÉMENTIE EN BRETAGNE POUR CE FAN FIDÈLE DU CA BRIVE DÉSIREUX DE PARTAGER SON EXPÉRIENCE RUGBY EN ENTREPRISE COMME DANS SON RÔLE DE PARTENAIRE DU CLUB.

Qui est Erkrial, votre entreprise ouverte en 2013 basée ici à Rennes ?

Nous sommes maître d’œuvre, avec pour mission de formaliser et réaliser un projet de construction. Nous récupérons des dossiers sur plans et ensuite, nous travaillons sur toutes les étapes, de la conception à la réalisation, en passant bien entendu par la mise en conformité aux normes. Parfois, le client consulte un architecte en amont, mais nous sommes aussi souvent sollicités dès l’élaboration des plans. C’est un travail sur le long terme, la réalisation d’un ouvrage pouvant parfois prendre plusieurs années. Nos prestations s’adressent aux professionnels.

Comment est née cette aventure et quelle est son évolution ?
Au départ, nous étions trois associés, Eric, un ami reparti depuis dans le Nord, et Kristell, d’où le nom de l’entreprise, contraction de nos prénoms. Puis j’ai pris l’affaire seul à partir de 2015, nos chemins pros s’étant séparés. Nous nous sommes rencontrés en travaillant pour un soldeur, dont nous avions en charge la construction du siège social. Erkrial a démarré sous forme d’auto-entreprise puis s’est développée crescendo. Aujourd’hui, 4 salariés travaillent dans l’entreprise, avec une économiste, un dessinateur, une assistante et moi-même, en charge de la relation clientèle et de l’ouvrage des travaux. Je recherche d’ailleurs à ce jour à renforcer l’équipe avec un collaborateur polyvalent dessinateur-économiste et un conducteur chef de projet. Sans publicité tapageuse mais à force de bouche à oreille, nous avons beaucoup d’opérations en cours, en Bretagne bien sûr, mais aussi bien au-delà !


Qu’aimez-vous le plus au quotidien dans votre métier ?

La partie conception des dossiers, conseiller, orienter un client, avertir aussi des possibles complications qu’il pourrait ne pas voir. La rencontre également de personnes différentes, au quotidien est aussi très enrichissante, tout comme le travail d’équipe. Enfin, je suis attentif au développement de la structure qui sera « dans ses murs » prochainement à Andouillé-Neuville, pour mener à bien les projets que nous avons en cours en Bretagne, mais pas seulement.


Quand il vous reste du temps, on vous croise régulièrement au Vélodrome, pour supporter le REC…

Tout à fait ! J’ai rencontré Yannig Escoffier, responsable des partenariats, il y a six ans par une relation commune et nous avons “matché” rapidement. Après deux heures d’échanges, nous nous sommes quittés en nous faisant la bise et mon envie d’accompagner le projet REC était devenu une évidence. Je suis mordu de rugby depuis l’enfance, même si j’ai plus pratiqué le foot, mais étant de Brive, le rugby, était dans mon ADN ! J’aime ce sport, ses valeurs, son rythme. C’est viscéral et agir aux côtés du REC est un engagement qui me permet de continuer à vivre ma passion.


Comment définissez-vous le lien qui vous unit avec le REC ?
Il est fort. J’apprécie de pouvoir échanger avec les joueurs, les connaître, leur permettre à l’occasion de partir en balade, faire du golf, aller à la chasse ou à la pêche ensemble. Il faut bien avoir en tête que pour un joueur, arriver dans un nouveau club, c’est aussi arriver dans une nouvelle région, parfois seul, sans repère ni connaissance du lieu. Je pense que notre rôle de partenaire va au-delà du chèque signé en début de saison et que nous devons être proactifs dans la vie du club au-delà du simple « business partenaire ». A Rennes, le projet est clair, tracé et le président Jean-Marc Trihan met en place les choses les unes après les autres, sans brûler d’étapes. C’est ce projet et cette ambiance qui me motivent pour m’impliquer dès que je le peux. Etre de cette aventure, c’est passionnant et j’ai hâte de vivre les phases finales dans les semaines à venir. Ce groupe mérite de beaux succès !